top of page

POINTS DE FRICTION

MALADIE DE LYME CHRONIQUE, UNE MALADIE RECONNUE ?

La maladie de Lyme, à la différence de la MLC, est reconnue et traitée chez les différentes personnes atteintes. En effet, la MLC est selon certains médecins qu’une vague illusion chez certains patients d’être toujours atteints. Les symptômes sont présents (mal de crâne, rougeur, état de fatigue intense…) chez plusieurs personnes en post-traitement de la maladie de Lyme. Néanmoins de nombreux tests et études menés par différents chercheurs et médecins mettent en doute la plupart des hypothèses pour la MLC. Les résultats sont, en effet, négatifs et traduisent alors l’absence de bactéries Borrelia.

DES PATIENTS TRAITÉS CORRECTEMENT ?

La MLC n’étant pas reconnue dans le monde médical, est difficile à traiter. Les symptômes sont communs à plusieurs maladies ou infection. Cela devient alors compliqué pour soigner les patients correctement. Certains sont constamment sous antibiotiques ; ce qui est nocif pour leur santé. En effet, les bactéries peuvent s’échanger des morceaux de codes génétiques et ainsi résister aux médicaments. La plupart des diagnostiques, de médecins n’adhérent pas à la MLC, se concluent sur un problème psychique chez le patient s’imaginant différents symptômes qu’il a pu ressentir pendant son traitement contre la maladie de Lyme.

UNE ABSENCE DE RÉSULTAT, UNE ABSENCE DE MALADIE ?

Dans le monde de la médecine, une majorité de pratiquants sont contre les financements de certains acteurs dans la recherche d’une solution contre la MLC. Ils considèrent que les tests, se révélant négatifs, soient la preuve irréfutable d’une absence de maladie chronique via la bactérie Borrelia. Cela a entrainé une gêne et une exclusion d’une minorité de médecins se battant pour que la MLC soit reconnue. Dans une interview, un médecin avait exprimé une peur personnelle sur des potentielles représailles à l’encontre de sa famille. On peut parler, également dans d’autres cas, d’exclusion au sein même de leur lieu de travail.
Le fait que les tests soient négatifs chez les patients n’impliquent pas nécessairement la guérison totale de ces personnes. Certaines analyses de laboratoires avaient décelé des restes de bactéries correspondant à la Borrélia mais à un stade de décomposition. Ce qui impliqueraient une absence de maladie ou d’infection. Pourtant la majorité des personnes se plaignant de plusieurs symptômes similaires avaient des antécédents médicaux : ils avaient eu un traitement contre la maladie de Lyme.

LA RECONNAISSANCE DES LYME’S DOCTORS

Plusieurs médecins se revendiquent Lyme’s Doctors c’est-à-dire professionnels dans le traitement de la MLC. Toutefois cette maladie n’est pas encore reconnue. C’est pourquoi leur légitimité est interrogée. De plus certains Lyme’s Doctors ne sont pas médecins de profession et donc n’ont aucune connaissance médicale. Cela implique alors la remise ne question sur l’existence de la MLC car les connaissances sont peu nombreuses à ce sujet et aucun moyen n’a été prouvé pour soigner ces personnes encore malades après leur traitement contre la maladie de Lyme.

UNE COÏNCIDENCE CHEZ LES PATIENTS QUI NE PEUT PAS ÊTRE IGNORÉE.

Même si la plupart des médecins sont convaincus que la MLC n’existe pas, il reste une part d’incompréhension chez plusieurs pratiquants qui ont étudiés plusieurs cas de MLC : les mêmes symptômes, un antécédent commun médicale portant sur le traitement de la maladie de Lyme et une certitude de ne pas être totalement guéris.
Ce point de friction est au cœur des débats et a permis à plusieurs associations de naître dans le but de reconnaître et de soigner cette maladie.

UNE CARTOGRAPHIE AMBIGÜE, AINSI QU’UN MANQUE D’INFORMATIONS AU SEIN DES POPULATIONS.

La maladie de Lyme, étant une maladie bactérienne, est peu connue dans le monde comparée à l’hépatite (A, B, C). La réalisation de sa cartographie est alors compliquée et demande une quantité d’informations importantes. Cela devient impossible quand il faut cartographier une maladie non reconnue comme la MLC dans le monde. Aucune statistique n’est réalisée et quantifiée l’information, quand elle n’est pas officielle, est un travail qui demande de la patience. Par ailleurs, le manque de sensibilisation est présent (cf Google Trend) pour la MLC mais aussi pour la maladie de Lyme en général. La plupart des individus n’ont pas conscience de la proximité qu’ils peuvent avoir avec la maladie.

CONCLUSION SUR CES POINTS DE FRICTION

Ces différents points de divergence animent le monde médical. Aujourd’hui encore la MLC n’est pas encore reconnue comme une maladie bactérienne à part entière. Cependant de plus en plus de personnes se mobilisent pour sensibiliser la population et les gouvernements.

Points de friction: Programme
Points de friction: Bienvenue
bottom of page